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Devenir Digital Nomad : c’est un rêve que partagent beaucoup de voyageurs (ceux qui ont le voyage dans l’âme, et ceux qui ont déjà l’occasion de partir régulièrement).

Si tu arrives sur cette page, tu sais certainement déjà ce qu’est un nomade digital. Mais pour être sûr que l’on parle de la même chose, je te propose la définition suivante :

« Digital Nomad » est un terme anglophone qui désigne les personne travaillant en ligne (« digital ») tout en voyageant (« nomad »).

Certains nomades digitaux sont salariés (en télé-travail). D’autres sont à leurs comptes (freelances, indépendants, ou chefs d’entreprises). Il n’y a pas de règles sur la meilleure façon de devenir digital nomad.

L’important est de choisir une idée qui correspond à ses envies.

En effet, si l’activité professionnelle ne plaît pas, travailler en voyageant sera vécu comme une contrainte et non un plaisir.

NB : certains voyageurs font des choix différents. Ils travaillent sur place (attention aux visas requis, selon les pays). D’autres économisent avant leurs départs et font un tour du monde pas cher en gardant des maisons, en faisant du volontariat dans des auberges de jeunesses ou dans des fermes ou encore en enseignant sa langue chez l’habitant (cf : woofing, helpx et workaway). Dans ce cas, ce ne sont pas des nomades digitaux. Même s’ils voyagent, ils ne travaillent pas sur internet.

Devenir Digital Nomad : un concept qui séduit de plus en plus

Lorsque l’on a toujours suivi un parcours conventionnel – c’est-à-dire un mode de vie sédentaire et/ou salarié, il est facile de tomber sous le charme de concepts business attrayants, en sous-estimant :

  • la quantité de travail nécessaire avant de pouvoir dégager des revenus,
  • le facteur chance,
  • et la pertinence de telles idées pour ses propres projets.

De plus, comme le concept est très alléchant, des individus peu scrupuleux en profitent pour vendre des solutions qui promettent ce style de vie nomade. Mais, en réalité, leurs idées se révèlent généralement peu efficaces (lorsqu’elles ne sont tout simplement pas des arnaques).

Partons donc pour un tour d’horizon des pires idées qui circulent sur internet pour gagner sa vie en voyageant.

Attention, cela ne veut pas dire que ça ne fonctionne jamais, ou que toutes ces techniques sont des arnaques. Il s’agit de mon point de vue. Je le défends avec vigueur, car j’ai vu des proches y investir du temps, de l’argent, et beaucoup d’espoir. Puis, je les ai vu repartir, désabusés, dans une vie qui ne leur convenait pas.

Ainsi, mon objectif n’est pas de te transmettre des pensées négatives ou limitantes sur ces idées, mais plutôt de t’inviter à la vigilance et de t’offrir une vision pratique du nomadisme digital.

PS: Si tu cherches plutôt les bonnes idées pour devenir Digital Nomad, je t’invite à découvrir un autre article ici.

#1 – Les fausses bonnes idées pour devenir Digital Nomad

La première catégorie est celle des fausses bonnes idées ! Ce sont des concepts tout à fait légitimes, mais peu efficaces pour les nomades digitaux. Par contre, ils ont l’air de très bien fonctionner pour certaines personnes ou entreprises. Du coup, tu te demandes – à juste titre – si ces idées pourraient te permettre de financer tes voyages.

  • Tout d’abord, tu penses peut-être lancer ta campagne de crowdfunding en choisissant un thème de voyage 👉 fausse bonne idée #1 !

Pour récolter des financements, il ne suffit pas de publier un concept cool sur des plateformes telles que « Kiss Kiss Bank Bank« , « KickStarter » ou IndieGogo. L’argent ne tombe pas du ciel, c’est bien malheureux, mais la vie est ainsi.

Une campagne de crowdfunding est un véritable temps plein. Elle est donc idéale pour les projets déjà bien développés.

Pour augmenter ses chances de succès, il faut par exemple réaliser une vidéo de qualité professionnelle, fédérer une communauté, travailler sur sa visibilité, et proposer des contreparties intéressantes en échange. Tu l’auras compris : il ne suffit pas de spammer ses 350 amis facebook avec le lien pour que ça devienne viral !

Le crowdfunding est surtout utilisé par des entreprises pour réaliser une campagne marketing et obtenir des pré-ventes. Si tu as un projet entrepreneurial ambitieux, et si une campagne de crowdfunding est pertinente dans ta stratégie marketing, alors fonce !

Lorsqu’il est bien utilisé, c’est un outil extraordinaire. Mais si ton objectif est simplement de faire la quête auprès de son entourage proche, une page de collecte de dons sur Leechi ou GoFundMe est largement suffisante.

Il ne reste plus qu’à espérer qu’ils soient vraiment généreux, parce que voyager coûte cher !

  • Ensuite, tu te dis que tu aimerais écrire un blog et te rémunérer avec de la pub 👉 fausse bonne idée #2 !

PS: cette catégorie regroupe aussi  les influenceurs instagram et les youtubeurs.

Il y a des centaines de millions de blog dans le monde, dont une immense quantité de blogs de très bonne qualité. Les annonceurs, c’est-à-dire les entreprises qui paient les influenceurs pour faire de la publicité, ont l’embarras du choix.

Tu peux tout à fait décider de créer un blog sur un sujet qui te passionne, et espérer en vivre un jour ! Cela va demander un travail très intense, similaire à celui d’une entreprise traditionnelle. De plus, tu auras besoin de t’entourer de professionnels du numérique pour être visible en ligne (ou d’apprendre de nombreuses compétences).

Comme pour un site ou une campagne de crowdfunding, il ne suffit pas non plus de créer un blog pour que les gens te trouvent.

Il faut que ce blog soit référencé (SEO et mots clés), partagé par d’autres sources de confiance (pour augmenter ta fiabilité sur les moteurs de recherches et apparaître dans les premiers résultats). Enfin, il faut le promouvoir sur les réseaux sociaux, en partageant le contenu, mais aussi en travaillant pour augmenter son audience. À cela s’ajoute bien entendu la création de contenus de qualité. Un article comme celui-ci prend 6 heures (pour te donner un ordre d’idée).

Pour des blogs « voyage », « mode » ou « lifestyle », il te faudra de très belles photos – donc des collaborations avec des photographes. Attends-toi à devoir payer, ils seront peu nombreux à te faire des clichés gratuitement si ton audience de départ se limite à 100 abonnés sur Instagram.

Enfin, il est fort probable qu’aucune marque ne viendra te proposer de collaborations directement – pas avant d’avoir des centaines de milliers d’abonnés ou de visiteurs uniques chaque mois. Tu devras faire un véritable travail de prospection pour dénicher tes premiers contrats. 

Si tous ces termes te sont étrangers, tu devras soit te former, soit recruter des pro. Dans tous les cas, si c’est ton rêve, fonce ! Il n’y a rien que tu ne puisses apprendre.

Mais si tu t’y engages parce que tu penses que c’est la voie de la facilité,  ou parce que tu as vu pleins de digital nomads lancer des blogs, tu risques d’être vite déçu, découragé, et donc d’abandonner.

PS : si tu aimes écrire, tu peux toujours commencer à alimenter un blog personnel ou professionnel et te donner du temps pour le faire grandir. C’est l’idée d’en tirer des revenus conséquents sous quelques mois – en partant de zéro – qui me semble une fausse bonne idée.

  • Enfin, tu as peut-être envie de devenir rentier dans l’immobilier pour voyager à volonté 👉 fausse bonne idée #3 !

L’idée est séduisante : acheter des appartements, des maisons ou des immeubles avec l’argent des autres (la banque). Être plus malin que les autres propriétaires en faisant de la colocation ou du airbnb, en achetant dans des villes de tailles moyennes, ou encore en participant à des ventes aux enchères.

En réalité, ce métier existe : c’est celui de marchand de biens. On connaît aussi tous un excellent bricoleur qui a fait de bonnes affaires dans l’immobilier. Mais cela ne s’improvise pas.

Si tu n’y connais rien, l’immobilier est une mauvaise idée pour deux raisons : tout d’abord, tu risques de faire une mauvaise affaire. Sachant que tu devras acheter de nombreux biens pour te dégager un revenu suffisant (une fois les charges et impôts prélevés), c’est très risqué. Tes locataires pourraient être de mauvais payeurs. Si tu te trompes dans le choix du logement ou du locataire, tu devras quand même rembourser la banque.

Ensuite, l’immobilier est un bien ancré à un endroit fixe. Il faudra que tu paies quelqu’un pour gérer ton bien en ton absence. Cela réduit considérablement ton bénéfice net.

L’immobilier compte de très belles « success stories » et si tu aimes ce secteur, une fois encore, vas-y à fond !

Si tu veux juste générer des revenus sur ton ordinateur pendant ton tour du monde, il y a un chemin beaucoup plus simple.

Pour conclure, j’aimerais te rappeler que devenir digital nomad est tout à fait possible !

Je n’ai pas pour intention de te décourager, mais de te montrer les réalités de certaines activités qui pourraient sembler simple de prime abord.

Continuons sur notre découverte des pires idées pour devenir digital nomad : les idées motivées par une envie d’être payé à ne rien faire (ou presque).

Ou aller digital nomad

Extrait de « Tout pour être Freelance » (page 60, éditions Caliopea). Dans ce livre (que j’ai écrit avec amour), je te présente les meilleurs spots pour Digital Nomads et te donne des conseils pour y arriver ! Tu peux trouver le pdf ici et le livre broché là 🙂

#2 – Les idées motivées par un désamour du travail

Nous sommes nombreux à avoir connu des expériences professionnelles difficiles, qui abiment.

Face à cela, il est tentant de réfléchir aux solutions pour se générer une liberté financière en ne travaillant plus – ou très peu.

Je rencontre souvent des personnes ayant un véritable désamour pour le travail. Cela se comprend, ils n’ont pas toujours eu un parcours facile.

Cependant, en se donnant les moyens de réussir, il est possible de trouver une activité conciliant passion et rémunération.

Le problème avec le désamour du travail, c’est que l’on peut vite devenir de parfaits pigeons pour des personnes vendant des kits, formations ou méthodes pour arrêter de travailler grâce aux revenus passifs, parfois aussi appelés revenus résiduels. Bref, devenir rentier.

Rappelez-vous qu’à l’époque de la ruée vers l’or, les vendeurs de pioches ont fait fortune ! 

Généralement, les idées suivantes sont proposées :

  • Investir dans les cryptomonnaies comme le Bitcoin,
  • Devenir Trader : acheter et revendre des actions. Bref, boursicoter au quotidien,
  • Faire du marketing de réseau (MLM, vente par pallier, marketing multi-niveau, affiliation marketing) pour des agences de voyage, des marques de cosmétiques, des articles du quotidien, etc…
  • Ouvrir un site e-commerce avec le dropshipping qui consiste à vendre des produits sans inventaires (les fournisseurs se chargent de l’envoi, une fois la commande effectuée).

Il est facile de tomber dans le paneau lorsque l’on a envie d’y croire. Les professionnels de ces secteurs l’ont bien compris.

Souvent, le discours marketing est le même : un webinaire te présente un style de vie incroyable.

Le présentateur débute en te présentant sa vie d’avant. Une vie atroce. Puis, il s’est lancé avec une solution miracle. Depuis, il est libre, il conduit une BMW, il sort avec une top model !

Et comme il est généreux, il nous montre comment faire pour juste quelques centaines ou milliers d’euros. En échange, nous recevrons un kit de démarrage ou une formation.

Attention donc aux belles promesses. Le plus souvent, ces systèmes ne parlent jamais du travail concrèt à effectuer. Seul un mode de vie de rêve est présenté. Le modèle de rémunération doit inviter à la prudence. Parfois, il s’agit d’un schéma pyramidal. Ces entreprises facturent un « kit de démarrage » aux nouveaux arrivants. Il faut faire entrer d’autres personnes dans le système pour être payé. Elles devront, à leur tour, en recruter d’autres, qui à leur tour recruterons également.

Tu comprends pourquoi ce modèle pose problème.

Même si, légalement, on ne peut pas toujours parler d’arnaque.Mais dans les faits, c’est peu efficace.

Bien entendu, il est tout à fait possible de se générer des revenus passifs. Par exemple, tu peux créer un cours en ligne, écrire et vendre un Ebook, créer des produits digitaux ou tenir un site e-commerce. Si tu as une belle audience sur les réseaux sociaux, l’affiliation et le drop-shipping peuvent aussi fonctionner.

On en revient donc à la même conclusion : le nerf de la guerre, c’est la compétence et la visibilité. Elles se développent au fil d’un long travail.

Finalement, un revenu passif n’est pas une solution qui te permettra de devenir riche du jour au lendemain, contrairement à ce que certaines entreprises essayent de nous faire croire. Cela requiert un investissement fort au départ, qui finira peut-être par payer dans le futur.

Pour savoir si une formation est légitime, pense à regarder les mentions légales du site internet, à vérifier les références présentées (avis, parcours du formateur, etc…). C’est encore mieux si la société est référencée comme organisme de formation, ou inscrite sur le datadock pour les sociétés françaises. Ce dernier point veut dire qu’une prise en charge financière par est envisageable.

Auprès de qui aimerais-tu apprendre à entreprendre ? Quelqu’un qui sort de nulle part, et que tu as trouvé via sur une publication sponsorisée Facebook ? Ou un professionnel ayant fait ses preuves, dont la qualité des formations est reconnue ?

Si tu choisis la deuxième option, les services de La Minute Freelance pourront t’aider !

Pour résumer, si tu veux te dégager des revenus rapidement pour quitter ton style de vie sédentaire et devenir digital nomad, le plus simple reste d’échanger ton temps (ta compétence) contre de l’argent (une rémunération) soit en tant que salarié (télétravail), soit en tant que freelance (auto-entrepreneur ou autres types d’entreprises).

Rien ne t’empêche de constuire un projet de revenus passifs à côté. Et avec un peu de patience, qui sait ! Il finira peut-être par remplacer ton activité freelance.

Enfin, mon conseil serait de retomber amoureux du travail. Notre génération va travailler longtemps. Si l’on veut tenir dans la durée sans déprimer, il est essentiel de faire ce que l’on aime au quotidien.

On est pas obligé d’apprécier ce que l’on fait H24 ! Mais c’est quand même beaucoup plus agréable d’attendre le lundi avec impatience.

De mon côté, je n’ai aucune envie de m’arrêter, car je suis passionée par la formation, le conseil, et la création de contenus.

Chaque nouveau client m’apporte une joie immense. Même si je travaille beaucoup, je trouve une vraie satisfaction dans mon quotidien car j’aide les individus et les entreprises à créer des relations professionnelles remplies de liberté !

Pour aimer travailler, je pense qu’il faut 3 éléments :

  • Faire quelque chose qui nous passionne,
  • Travailler dans des conditions que l’on apprécie (cela inclus nos collègues),
  • Trouver du sens dans ce que l’on créé ou produit !

Certains freelances veulent que je leur donne des idées de secteurs qui rémunèrent. La question est légitime. Mais ce n’est pas la solution.

Une autre méthode consiste à partir de ta passion et à trouver une façon de la monétiser durablement en tant que freelance. Et puis, lorsque l’ on aime ce que l’on fait, on devient doué. Dans ce cas, on ne passe pas inaperçu bien longtemps.

Passons maintenant à la 3e catégories de mauvaises idées pour devenir digital nomad : celles que l’on utilise pour se mentir à soi-même.

Découvre « Tout pour être Freelance » (éditions Caliopea). Dans ce livre (que j’ai écrit avec amour), je te présente les meilleurs spots pour Digital Nomads et te donne des conseils pour te lancer et réussir en freelance ! Tu peux trouver le pdf ici et le livre broché là 🙂

#3 – Les idées qui relèvent de la désillusion

Tu as déjà entendu parlé de la théorie de la loi de l’attraction ? Nos pensées deviennent nos réalités. Ce que nous cherchons nous cherche également. Je suis une grande adepte de ce concept, car je pense que nous avons besoin de croire en notre réussite pour y arriver ! Être positif et confiant est une clef de succès.

Mais de l’espoir à la désillusion, il n’y a qu’un pas. La différence se situe dans la responsabilité personnelle et la proactivité que l’on injecte dans nos rêves.

Vivre dans la désillusion, c’est refuser d’agir. C’est penser que la solution viendra de façon magique de l’univers ou des autres selon les croyances.

Voici quelques exemples de désillusions :

  • Trouver un riche sponsor ou un mécène.

Le mécennat fonctionne généralement au coup de coeur. Les projets existent déjà et ont un potentiel d’impact très fort. Les créateurs ont fait leurs preuves. Il n’y a pas de prise de risque de la part des sponsors. S’il s’agit d’une association ou d’un projet à but non lucratif, il faut un intérêt prouvé pour les bénéficiaires. S’il s’agit d’un partenariat de sponsor contre visibilité, il faut une communauté.

Si tu n’as rien débuté, cela risque d’être compliqué.

Au risque d’être vexante : personne n’investira pour sauver quelqu’un de l’ennui de son quotidien. Cela serait de l’assistanat. En général, les riches n’aiment pas trop ça.

De plus, il y a beaucoup d’autres causes qui sont plus importantes que de faire un tour du monde. La faim dans le monde, l’accès à l’eau potable, l’environnement et l’urgence d’agir contre le réchauffement climatique, les droits humains, le soutien aux personnes malades, la protection des animaux, la diffusion de la culture et de l’art…

Ceci dit, si tu as un vrai projet qui pourrait avoir un bel impact sur les êtres humains et la planète, le mécennat peut être une stratégie de financement sur le long terme.

Simplement, ce n’est pas conçu pour devenir digital nomad et faire son tour du monde aux frais de la princesse.

  • Gagner au loto

Je ne sais même pas quoi écrire sur ce thème, tellement il me désespère.

C’est un peu l’excuse que certaines personnes donnent pour repousser à jamais leurs rêves. Mieux vaut assumer que quelque chose n’est pas une priorité, dans ce cas.

Et puis la plupart des gagnants du loto deviennent malheureux. Ils se retrouvent, du jour au lendemain, avec une quantité d’argent – donc d’énergie – qu’ils ne sont pas prêts à gérer.

En conclusion : No one is coming to save you.

C’est une phrase que je me répète dès que je dois faire face à une difficulté. Cela ne veut pas dire que je suis seule, ni que ce soit perdu d’avance. Mais simplement que je dois aussi faire des efforts pour obtenir des résultats. On a rien sans rien !

 

Comment travailler en ligne ?

Ne perds pas espoir : il y a tout autant de bonnes idées pour devenir digital nomad ! Par contre, cette liberté ne vient pas sans effort. Et quel bonheur d’apprécier les fruits de son travail, une fois que ces efforts paient.

De plus, en acquérant les compétences nécessaires à une vie nomade, on se sécurise à vie en étant certain de ne plus jamais devoir travailler dans un contexte qui nous déplaît.

C’est un investissement (temps, énergie, courbe d’apprentissage) qui en vaut la peine, non ?

Si tu fais une petite action chaque jour – même 30 minutes quotidiennes – pour travailler vers ton indépendance, tu seras rapidement surpris des résultats que génèrent des actions régulières et pertinentes.

Pourquoi vouloir tout, tout de suite ? Pourquoi brûler les étapes ? Je t’invite à apprécier chaque étape de ton parcours. À te construire un quotidien satisfaisant, qui te permettra de tenir dans la durée et t’atteindre tes objectifs en bonne santé physique et mentale.

Et voilà, c’est fini.

Notre petit tour d’horizon des pires idées pour Devenir Digital Nomad prend fin ici !

Ne désespère pas, cependant. Il existe pleins d’idées qui fonctionnent, dont je fais la liste dans un autre article.

Je ne peux pas te promettre que ça sera facile. Il y aura des périodes creuses, des doûtes, des situations difficiles. Ce que je peux te promettre, en revanche, c’est que ça en vaudra la peine !

Devenir Digital Nomad

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